La fatigue, le stress, la déprime sont tous des résultats d’un débalancement intérieur causé bien souvent par des éléments extérieurs. Soigner ces problèmes sans médicament tient parfois de l’impossible.
Mais depuis quelques années des chercheurs ont découvert que la présence des animaux aidait plusieurs personnes atteintes de ces problèmes à retrouver le goût de vivre, à relaxer et à atteindre un certain équilibre.
Des opposants à cette idée croient qu’il n’y a pas de relation réelle entre l’amélioration de la santé mentale des personnes affligées de ces maux et la présence d’animaux dans leur environnement. Ils donnent comme argument que la présence d’animaux pour un traitement de zoothérapie ne suffit pas puisque ces bêtes sont accompagnées d’un responsable.
Ils pensent même que c’est la présence de ce responsable, qui sait prendre soin des bêtes, qui serait à l’origine de l’amélioration de l’état des personnes affectées.
Ces accompagnateurs d’animaux auraient, toujours selon les opposants, la capacité de mieux comprendre et mieux savoir quoi dire et quoi faire avec des personnes déstabilisées que ne le peuvent les thérapeutes et l’entourage de ces patients.
Ce à quoi s’opposent les spécialistes de la santé qui se sont spécialisés en zoothérapie. Ils argumentent que la présente d’un animal, petit être vivant qui ne porte aucun jugement et qui aime sans rien demander, est la clé de la thérapie.
Que l’accompagnateur n’a aucun impact puisque bien souvent il s’éloigne pour laisser l’animal prendre contact avec la personne en besoin, sans intermédiaire.
Quoi qu’il en soit, il est évident que la zoothérapie, que ce soit par la seule présence de l’animal ou par la compétence particulière de l’accompagnateur, est bénéfique pour les personnes en mal de vivre et dont le système nerveux est fragilisé par diverses agressions tant internes qu’externes.
Pour découvrir des trucs efficaces pour mieux gérer le stress, conserver et augmenter votre énergie, procurez-vous : Adieu fatigue ! Vol. 1 et 2