Qu’est-ce que la santé ?
Une simple absence de symptômes pathologiques, comme veut nous le faire croire la médecine conventionnelle ? Ou un état de bien-être, de dynamisme et de bonheur, comme nous le suggèrent les médecines naturelles ?
Le message essentiel des médecines naturelles pour sauvegarder notre santé est vieux comme le monde : « Mieux vaut prévenir que guérir ».
Cette célèbre formule, dont personne ne songe à remettre en question le bon sens ni la logique, est pourtant quotidiennement bafouée à notre époque !
Pourquoi ignore-t-on tout de cette prévention qui était la préoccupation première des médecines traditionnelles de l’antiquité ?
Probablement parce que nous avons pris l’habitude de vivre selon nos fantaisies, dans le mépris le plus absolu des lois de la santé. Mais aussi parce qu’est offerte à chacun la possibilité de se « faire réparer » lorsque cela finit par s’avérer nécessaire.
Hélas, ni le bistouri ni les médicaments de synthèse ne pourront jamais grand chose contre le mal-être ressenti par tant de personnes.
Ce mal-être n’est, ni plus ni moins, que la conséquence d’un état endémique de « non santé », physiologique et psychologique. Et cette « non santé », parce qu’elle n’est pas maladie déclarée, reste ignorée de la médecine conventionnelle.
La médecine officielle, sans doute parce qu’elle trouve plus facile de manipuler la peur, ne sait pas vendre la prévention et n’a finalement d’autre ambition que de permettre à des malades de continuer à produire et à consommer.
Cela est évidemment symptomatique d’une perception dramatiquement étroite de la santé. Car la véritable santé est une harmonie à la fois physique et psychique.
Voila pourquoi toute les mesures de prévention auxquelles nous invitent les médecines naturelles se résument à découvrir quels sont les comportements harmonieux, dissipateurs des troubles et révélateurs de cette santé qui demeure au plus profond de nous.