Yam – Une progestérone naturelle : le Yam, pour une ménopause heureuse
Une hormone naturelle a révolutionné l’approche des problèmes hormonaux de la femme, notamment à l’heure de la ménopause : le Yam, véritable progestérone végétale.
Le Yam, ou Igname sauvage, était utilisé depuis longtemps en Amérique centrale pour soulager les douleurs des ovaires et les troubles menstruels.
Il ne doit toutefois pas être confondu avec l’igname comestible qui n’a aucune action hormonale et qui abonde sur les marchés africains. Il existe en effet plus de 600 espèces de Yam !
C’est en 1939 que fut mis en évidence, à l’Université d’état de Pennsylvanie, la présence d’une quantité importante d’un précurseur hormonal, la diosgénine, dans les tubercules du Yam. La diosgénine est une substance naturelle très proche des hormones produites par l’organisme de la femme.
Plus précisément, la diosgénine du Yam stimule les synthèses de DHEA et de progestérone.
Rappelons que la DHEA, sécrétée par les glandes surrénales, joue un grand rôle contre le vieillissement ; et que la progestérone, qui est produite par les ovaires pendant la deuxième partie du cycle, et dont la déficience est très importante dès la préménopause, a un effet calmant, protège contre les effets des oestrogènes et empêche la rétention d’eau.
Voilà maintenant trente ans que le Yam donne d’excellents résultats, aussi bien dans les malaises prémenstruels que pour limiter les troubles liés au déséquilibre hormonal à partir de cinquante ans.
Ainsi aide-t-il à lutter contre la dégénérescence osseuse, à éviter les kystes des seins, la prise poids et les œdèmes, améliorer la libido, diminuer la déprime et l’irritabilité.
Le Yam, plante progestérone-like, est donc l’allié naturel de toutes les femmes ayant des troubles en relation avec la préménopause, ou encore une ménopause récente et installée avec risques d’ostéoporose.
Et, bien sûr, il ne produit aucune accoutumance, dans la mesure où il stimule l’organisme sans se substituer à lui.